Les Ambiances
participent à la 26e édition de la Fête du cinéma du samedi 26 juin dès 12h au
vendredi 2 juillet 2010.
Durant ces 7
jours, pour l'achat d'une place au tarif en vigueur, une carte Fête du
cinéma est remise au spectateur. Grâce à celle-ci, il peut accéder à toutes les
séances suivantes au tarif exceptionnel de trois euros dans la limite d'une
entrée par séance et par carte.
Pour voir et revoir les
nouveautés de fin juin:
Rompant avec la folie douce et les excentricités des Triplettes
de Belleville, Sylvain Chomet s’engage dans le sillage plus intimiste du Charlie
Chaplin des Feux de la rampe, vers le tableau d’une communauté de saltimbanques
qui se savent condamnés. Un clown triste, un ventriloque, des acrobates… Des
espèces en voie d’extinction que le réalisateur observe affectueusement,
minutieusement...Minutieux, attentif, le trait du dessin l’est également, qu’il
s’agisse des protagonistes, des décors ou des accessoires. Marc
Toullec/Toutleciné.com
C'est par petites touches, savamment dosées et
ironiques à souhait, que le second degré de Romain Goupil s'avère percutant.
Au-delà de sa dimension politique, intime et familiale, ce film intervient comme
le reflet d'une époque où des valeurs se perdent et la société se désorganise.
Mais loin d'offrir un discours cynique de simple réac, Goupil espère encore. A
son sentiment d'impuissance face aux effets de la politique de reconduite à la
frontière, le cinéaste a choisi l'art comme réponse. Un acte majeur. Laure
Croiset/Toutleciné.com
Premier film (Caméra d'or à Cannes).Le trouble naît de la
rigueur avec laquelle le cinéaste détaille, entre ces deux solitaires enfermés
comme dans une boîte, l'amorce d'une rencontre que nul ne peut comprendre, pas
même eux. Pierre Murat/Télérama
En tant que montage d'archives sur les Doors, ce film est
précieux...Ex-étudiant en cinéma (il adorait Godard !), Morrison a laissé
quarante-cinq minutes de film où on le voit traverser le désert à bord d'une
voiture, en 1970. François Gorin/Télérama
Retour d'un grand nom de l'animation japonaise. Il y a deux
ans, Mamoru Hosoda promenait la jeune héroïne de La Traversée du temps entre
passé et futur. Summer Wars repose, à nouveau, sur un schéma d'allers-retours,
mais, désormais, entre le réel et le virtuel. Et réussit un petit exploit :
rendre intelligible au plus grand nombre un scénario que l'on aurait pu croire
destiné aux seuls geeks. Samuel Douhaire/Télarama
Plus qu'à celle de la musique proprement dite, plus
qu'au destin ultérieur de Nannerl, le film est l'histoire de ce renoncement. Il
met en scène le moment où la jeune fille, encore bercée d'espoirs et
d'illusions, doit se l'avouer à elle-même et rentrer dans le rang. Il n'en est
que plus cruel et plus beau...Très loin des pompes en usage dans ce genre de
reconstitution, le film met en oeuvre un minimalisme distancié et une justesse
des sentiments qui emportent avec grâce la conviction. Jacques Mandelbaum/Le
Monde
De cette interprétation collective, se dégage une sensation
(...) de familiarité et de connivence qui renvoie le cinéma à une heureuse
simplicité. Positif /Vincent Thabourey
Comédie émouvante sur la vie amoureuse des seniors. Thierry
Chèze - Studio Ciné Live
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